Paris, le 15 juin 2020
J’expose à la galerie Akié Arichi du 25 juin au 28 juillet, en compagnie de cinq autres artistes travaillant sur différents supports. Cette exposition est dédiée aux portraits d’artistes et de poètes. La galerie est au 26 rue Keller 75011 Paris. Le vernissage se tiendra le jeudi 25 juin à partir de 17h30.
Paris, le 9 mai 2020
Ci-dessous un texte de Youcef Haddab sur le travail en cours de Gilles Drouin. Il est accompagné de photographies de quelques tableaux récents.
Gilles Drouin – Le monde des frontières
Gilles Drouin, peintre abstrait construit, explore les possibilités du carré et de ses variations depuis maintenant plusieurs années. Les interactions entre forme, ligne et couleurs sont au coeur de son travail.
Depuis 2018, son cheminement intellectuel l’a amené à se pencher sur la perspective, et plus précisément sur cette *zone grise » à la frontière entre le domaine de la planéité et celui de la perspective.
On assiste dans son œuvre récente à l’exploration de cette limite, qui appelle l’analogie avec l’apparition de la perspective dans l’oeuvre des peintres italiens de la fin du Moyen-Age et de l’aube de la Renaissance, tels Cimabue et Giotto s’affranchissant du hiératisme byzantin de leurs prédécesseurs. Gilles Drouin transpose figurativement (sans jeu de mots) cette transition dans le monde de l’abstraction géométrique, entre la pure bidimensionnalité et la tridimensionnalité émergente.
Ses carrés, auxquels il reste fidèle, sont-ils des cubes vus de face, ou bien sont-ce les cubes qui émergent des carrés, comme portés par une dynamique irrésistible ? Ils se juxtaposent, s’opposent, se « translatent » dans une variation étonnante d’aplats de couleurs. La limitation délibérée de la palette met en lumière l’infini des possibilités du dispositif de l’artiste.
Ce qui apparait clairement à la vision des oeuvres récentes de Gilles Drouin, c’est qu’à cette frontière entre bi et tridimensionnalité, il y a le mouvement. Une immense énergie cinétique s’échappe de la toile, dans cette confrontation de formes jamais similaires, ni jamais vraiment différentes qui se fuient, se rapprochent, s’apparient sans fin, se renvoyant indéfiniment les unes aux autres. La complexité semble comme surgir de la simplicité.
Ce sont en réalité les lignes qui structurent chaque œuvre, lui donnent son tonus et permettent aux variations carré/cube de ne pas se perdre dans un désordre sans logique. Elles sont horizontales et verticales, présentes/absentes dans les alignements que l’œil reconstitue sans y réfléchir mais qui sont bien là, prenant le spectateur par la main pour le guider à travers la toile.
Le choix, fréquent, de présenter ces tableaux par paires rajoute une dimension supplémentaire à ce jeu permanent de similarités, différences, et pseudo-effets de miroirs. Ceux qui connaissent déjà le travail de Gilles Drouin y reconnaitront un leitmotiv fréquent de son œuvre, depuis longtemps préoccupée par la question du miroir et du double imparfait.
Urban disctrict I & II, acrylique sur toile, 55×46 cm, 2020
Les choix de palette de chaque tableau donne à chaque fois un ton plus joyeux ou plus sombre à l’œuvre, sans en altérer le dynamisme et la charge cinétique. Les bleus et jaunes permettent au spectateur de s’évader vers un rêve balnéaire comme idéalisé, tandis que les rouges et gris le portent à la gravité et à l’introspection.
Cette nouvelle exploration dans laquelle Gilles Drouin s’est lancé nous interroge sur les limites. Entre aplat et perspective, entre ressemblance et dissemblance, entre ordre et désordre. C’est aux frontières que le Monde est Monde.
Youcef Haddab
Whirling squares I & II, acrylique sur toile, 30×30 cm, 2020.
Paris, le 9 février 2020
Quelques nouveaux tableaux explorant la limite entre le bidimensionnel et le tridimensionnel.
Cosmic show, acrylique sur toile, 60×60 cm, 2020.
A nebula of squares, acrylique sur toile, 40×40 cm, 2020.
Périphérique night I, II et III, acrylique sur toile, 24×19 cm, 2020.
Paris, le 15 Octobre 2019
Le salon Réalités nouvelles ouvre au Parc Floral du bois de Vincennes le samedi 19 Octobre ! Vernissage à partir de 18h00.
Paris, le 15 septembre 2019
L’exposition collective Réalités Nouvelles hors les murs aura lui du 23 septembre au 7 octobre, à l’académie des beaux-arts de Chenyang, Chine.
Paris, le 28 juillet 2019
L’exposition collective Réalités Nouvelles hors les murs a démarré à Budva au Monténégro le 20 juillet 2019 à la Moderna galerija « Jovo Ivanovic » ! Elle se poursuivra jusqu’au 20 août 2019.
Mimosa Quantique, acrylique sur toile, 100×100 cm, 2019.
Paris, le 26 juillet 2019
L’exposition collective « Intention/non-intention » a démarré à la galerie 1905 à Chenyang ! Elle a lieu du 13 juillet au 7 Octobre 2019.
Anne Commet, Gilles Drouin, et Sandrine Coignard au premier plan.
Paris, le 14 juillet 2019,
L’exposition « jeunes artistes émergents » se poursuit à la galerie Akié Arichi au 26 rue Keller ! La vidéo : Vidéo
Quelques photos :
Paris, le 5 juin 2019,
Le vernissage de l’exposition « jeunes artistes émergents » aura lieu à la galerie Akié Arichi, au 26 rue Keller à Paris dans le 11e arrondissement, le vendredi 14 juin à partir de 18h !
Paris, le 31 mars 2019,
Quelques nouveautés mettant l’accent sur l’effet de relief.
3 tableaux acrylique sur toile, 20×20 cm.
Paris, le 27 novembre 2018,
J’expose quelques tableaux à l’étude notariale Mazan-Delmas :
Paris, le 18 Octobre 2018,
Je participe à la 72ème édition du salon Réalités Nouvelles, au Parc Floral du bois de Vincennes, du 21 au 28 Octobre.
Mon tableau :
Le vernissage aura lieu samedi 20 Octobre à partir de 18 heures. Venez nombreux !
Paris, le 02 octobre 2018,
L’exposition collective « répétitions » démarre samedi 6 octobre au 6B, 6-10 quai de Seine, à Saint-Denis.
Paris, le 19 août 2018,
Je vais participer à l’exposition « Concrete Discursive complexity », organisée par Mark Starel à la galerie XS, à l’Institute of Fine Arts, à Kielce en Pologne. Vernissage le 11 septembre 2018.
Paris, le 4 août 2018,
Un avant-goût du travail que je vais présenter à l’exposition « répétitions » au 6B à Saint-Denis en Octobre. L’œuvre, un diptyque, sera terminée cet été.
Paris, le 27 mai 2018
J’ai participé à l’exposition collective « échangismes » à la galerie Abstract Project, 5 rue des immeubles industriels dans le 12e arrondissement de Paris. Le vernissage a eu lieu le mercredi 30 mai. L’exposition s’est tenue du 31 mai au 9 juin.
Paris, le 29 avril 2018
Mes tableaux ont été exposés sur le plateau de deux enregistrements de l’émission « Thé ou Café » de la chaine TV France 2. Ils étaient visibles lors des diffusions du 5 et du 13 mai 2018.
Ou sur youtube:
Pour le 5 mai : https://www.youtube.com/watch?v=exWT6DKiXU0
Pour le 13 mai : https://www.youtube.com/watch?v=i-dzTGAsOMU
Paris, le 29 avril 2018
Quelques images de l’exposition « Carrément 5 ». Dernier jour le 30 avril !
Paris, le 19 mars 2018
J’expose à Carrément 5 à l’espace Christiane Peugeot du 20 au 30 avril 2018. Vernissage le 19 avril à partir de 18h !
Paris, le 11 décembre 2017
Une galerie de photos de mon exposition tout juste terminée à la galerie Abstract project.
CARRES COMPOSES
J’investis la galerie ABSTRACT PROJECT du 22 novembre au 2 décembre pour une exposition personnelle !
La galerie ABSTRACT PROJECT est au 5 rue des immeubles industriels, dans le onzième arrondissement de Paris.
Le vernissage aura lieu le mercredi 22 novembre à partir de 18h.
Venez nombreux !!!
Paris, le 23 octobre 2017
Ci-dessous quelques images du salon Réalités Nouvelles 2016, auquel j’ai participé :
Paris, le 18 septembre 2017
Je serai de nouveau exposé au salon Réalités Nouvelles, au parc floral du bois de Vincennes, du 15 au 22 octobre. Le vernissage aura lieu le 14 octobre à partir de 18h00.
Paris, le 8 juillet 2017
Trois compositions récentes en 40×40 cm. Acrylique sur toile.
Paris, le 7 mai 2017
Deux tableaux qui peuvent paraître différents et qui ont en réalité une structure très similaire. Les rectangles et les carrés sont identiques. Dans le tableau de droite, des rectangles sont superposés à la structure initiale.
Paris, le 16 janvier 2017
Cette nouvelle série trouve son origine dans le trait. Je place 3 lignes horizontales qui traversent de part en part la toile, à égale distance les unes des autres.Telles des notes de musique sur une partition, s’alternent des rectangles et carrés, formant le squelette de la composition. Des rectangles lui donnent un rythme. Les carrés sont quant à eux traversés par deux diagonales, et sont ensuite complétés par une répétition des même formes rectangulaires, qui s’entrecroisant créent une dynamique. Les aplats de couleur accentuent ce mouvement. Enfin, des lignes blanches viennent achever l’ensemble.
Sans titre, 50×50 cm décembre 2016 Sans titre, 50×50 cm, décembre 2016